“Le sens de la soif” a Strasburgo con l’Ossservatore Permanente al Consiglio d’Europa

Le sens de la soif 23 October.

Rencontre/Littérature
Fausta SPERANZA, journaliste
à l’occasion de la parution de son livre
Le sens de la soif
L’eau entre la géopolitique, les droits, l’art et la spiritualité
Rencontre – en français –
animée par Giovanni GRUSSU, directeur de l’Institut Culturel Italien

mercredi 23 octobre 2024 à 18h30
Strasbourg, Istituto Italiano di Cultura – 7 rue Schweighaeuser
Entrée libre dans la limite des places disponibles – Réservation sur HelloAsso

Dans le cadre de la XXIV édition de la Semaine de la langue italienne dans le monde, placée sous le haut patronage du Président de la République Italienne, ayant comme fil conducteur L’italiano e il libro: il mondo fra le righe / L’italien et le livre : le monde entre les lignes, l’Institut Culturel Italien de Strasbourg convie le public à la présentation du livre Le sens de la soif. L’eau entre la géopolitique, les droits, l’art et la spiritualité (edizioni Infinito, 2024) de Fausta Speranza, en présence de l’auteure et de Monseigneur Marco Ganci, envoyé spécial du Saint-Siège auprès du Conseil de l’Europe.
Le lien profond entre l’eau et le droit à la santé est l’un des thèmes abordés pour dénoncer les urgences sociales et géopolitiques inhérentes à la plus essentielle des ressources.
À une époque marquée par les catastrophes liées aux changements climatiques, par la consommation humaine excessive des ressources de la planète, l’eau est analysée comme un emblème de l’équilibre naturel que les êtres humains ne peuvent continuer à altérer sans s’anéantir. La dénonciation d’enjeux qui ne peuvent être différés, comme le droit d’accès à l’eau potable de moins en moins évident, ou la sécheresse, cause de conflits et de flux migratoires, s’accompagne d’une analyse de la dimension spirituelle, culturelle et artistique avec laquelle l’homme à travers les siècles s’est lié à l’élément naturel, source de vie par excellence. Le cri des scientifiques attend d’être relancé par un puissant sursaut de conscience étique. N’oublions pas que, comme l’a dit le philosophe-anthropologue Loren Eiseley, « s’il y a de la magie sur cette planète, elle est contenue dans l’eau ». (Infinito edizioni)

Fausta Speranza est journaliste et correspondante à l’étranger pour les
médias du Vatican. Elle travaille depuis 1992 à l’information internationale de Radio Vatican ; depuis 2016 au journal L’Osservatore Romano : c’est lapremière femme à couvrir la politique internationale dans le quotidien du Saint-Siège. Elle a réalisé des reportages depuis l’Europe, les États-Unis, le Moyen-Orient, l’Extrême-Orient, l’Asie, l’Afrique et l’Amérique latine. Elle a collaboré avec de grands journaux (Limes, RadioRai, Famiglia cristiana, Corriere della Sera, Il Riformista) et notamment avec l’un des maîtres du journalisme italien, Sergio Zavoli. Elle s’occupe actuellement de questions culturelles. Fausta Speranza a obtenu plusieurs prix dont le Prix, attribué par le Parlement Européen, du Journalisme européen/Section Radio.

https://iicstrasburgo.esteri.it

INTERVENTO DI MONSIGNOR GANCI

Discours de présentation du livre de Fausta Speranza
Institut culturel italien, 23 octobre 2024

Chers amis,
C’est une grande joie pour moi de pouvoir intervenir ce soir à l’occasion de la présentation du livre « Le sens de la soif. L’eau entre la géopolitique, les droits, l’art et la spiritualité» de la Dott.ssa Fausta Speranza, journaliste de Vatican Media, en acceptant son invitation et celle du directeur du Centre culturel italien, le Dr Giovanni Grussu, qui nous accueille cordialement pour cet événement très important et que je remercie tout particulièrement.
Madame Speranza est l’auteur d’autres livres qui portent également sur des
sujets délicats et sensibles. Elle nous présentera son livre, qui s’articule autour d’un thème aussi vital que l’eau, élément essentiel et fondamental dans l’existence de tout être humain et de la création dans son entier.
Le choix de cette ville pour cette présentation apparaît encore plus significatif à plusieurs égards. Strasbourg, en plus d’être Capitale Européenne grâce à la présence d’Institutions importantes telles que le Conseil de l’Europe, le Parlement européen et même l’Eurocorps, est également la Capitale du Livre en cette année 2024.
De plus, Strasbourg a toujours eu une importance cruciale dans sa propre
histoire en raison de sa position stratégique sur la rive occidentale du Rhin et par les autres cours d’eau qui l’entourent. C’est précisément la présence de l’eau qui a toujours favorisé le développement, le progrès et la croissance des populations, ici et ailleurs, ainsi que les échanges culturels, le commerce, le dialogue et la coexistence entre les peuples.
Cependant, nous sommes bien conscients que l’harmonie n’a pas toujours régné, ni ne règne, entre les différentes communautés et qu’il y a eu plusieurs conflits dans l’histoire en raison du contrôle de l’eau et des ressources connexes. Le Saint Père, à l’occasion du 9ème Forum mondial de l’eau, en mars 2022, nous a rappelé que «la sécurité de l’eau est aujourd’hui menacée par divers facteurs, notamment, la pollution, les conflits, le changement climatique et l’exploitation abusive des ressources naturelles. L’eau constitue pourtant un atout précieux pour la paix. De ce fait, on ne saurait la considérer simplement comme un bien privé».
De plus, le caractère de la potabilité de l’eau est un autre aspect fondamental de cet élément que nous, chrétiens, considérons comme un don de Dieu. Selon les derniers rapports officiels de l’Organisation Mondiale de la Santé, environ 26 % de la population mondiale n’a pas accès à un service d’alimentation en eau potable géré en toute sécurité. Nous savons que l’accès à l’eau et à l’assainissement constituent en réalité un «droit humain primordial, fondamental et universel, parce qu’il détermine la survie des personnes». Par conséquent, le monde a «une grave dette sociale envers les pauvres qui n’ont pas accès à l’eau potable» 1.
Face à toutes ces évidences, il est de plus en plus nécessaire de prendre conscience de l’importance de cet élément naturel qui, pour nous qui vivons dans une sorte de paradis terrestre, ne semble pas poser de problème étant donné l’abondance dont nous disposons, mais qui, dans le reste du monde, en raison de son absence ou de son utilisation inadéquate, est à l’origine de graves maladies, de famines, de migrations forcées et de guerres, avec des répercussions géopolitiques à l’échelle mondiale.
C’est pourquoi je tiens à remercier une nouvelle fois Madame Fausta Speranza pour sa contribution, qui nous aidera sans aucun doute à nous engager de manière responsable en faveur d’un changement durable de style de vie, conformément aux indications de l’Encyclique Laudato sì du Pape François, dont je pense et j’espère que vous connaissez, tous, le message principal en faveur de l’écologie intégrale et qui place l’homme au centre de la protection de l’environnement.

À cet égard, je me permets de vous rappeler aussi le Message que le Saint Père, en septembre 2021, a adressé aux participants de l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe, lors de l’évènement «Environnement and humain rights : right to safe, healthy and sustainable environment» dans lequel il souligne l’intérêt important qu’il porte aux activités et travaux du Conseil de l’Europe, et sa conviction que ces travaux peuvent améliorer la situation dramatique dans laquelle se trouve notre planète. Sa Sainteté insiste sur l’importance et l’urgence de sauver la maison commune et précise que « lorsque l’être humain se considère comme maître de l’univers plutôt que comme son intendant responsable, lorsqu’il ne reconnait plus sa juste position par rapport au monde, il justifie toutes sortes de gaspillages, tant environnementaux qu’humains, et traite les autres personnes et la nature comme de (1) François, Lettre Encyclique Laudato si’, (n. 30) simples objets ». Chacun doit consommer, doit prendre de la terre ce qui lui est nécessaire pour vivre et non l’inverse. Pour terminer, et en pensant aux générations futures, avec espoir et responsabilité, je cite encore un dernier propos de ce Message: « Des mains de Dieu, nous avons reçu un jardin, à nos enfants, nous ne pouvons pas laisser un désert ». Merci pour votre attention!

ANSA

Mons. Ganci, l’acqua sia strumento di pace non di conflitti

L’evento a Strasburgo. “Una persona su 4 non ha acqua potabile”

qualcosa della rassegna stampa

L’acqua è un “bene prezioso” che deve essere strumento di pace.Ganci – dovuti al controllo dell’acqua e delle risorse ad essa collegate”. Il rappresentante della Santa Sede ha quindi ricordato le parole di Papa Francesco: “L’acqua è un bene prezioso per la pace. Pertanto non può essere considerato semplicemente un bene privato”. Lo ha detto l’Osservatore Permanente della Santa Sede presso il Consiglio d’Europa, monsignor Marco Ganci, in un evento a Strasburgo.
“Sappiamo bene che non sempre è regnata, né regna, l’armonia tra le diverse comunità e che nella storia si sono verificati diversi conflitti – ha sottolineato mons.    Ganci è intervenuto all’Istituto italiano di Cultura, guidato da Giovanni Grussu, alla presentazione della versione francese (Le sens de la soif, Infinito, 2024) del libro “Il senso della sete” di Fausta Speranza, giornalista dei media vaticani, che contiene la lettera di Papa Francesco e che ha vinto il Premio Letterario Ambasciatori presso la Santa Sede 2022.
L’Osservatore della Santa Sede presso il Consiglio d’Europa ha sottolineato in particolare la questione dell’acqua potabile: “Secondo gli ultimi rapporti ufficiali dell’Organizzazione Mondiale della Sanità, circa il 26% della popolazione mondiale non ha accesso ad un servizio di fornitura di acqua potabile gestito in sicurezza. Sappiamo che l’accesso all’acqua e ai servizi igienico-sanitari costituisce in realtà un diritto umano primario, fondamentale e universale, perché determina la sopravvivenza delle persone. Di conseguenza – ha sottolineato – il mondo ha un grave debito sociale nei confronti dei poveri che non hanno accesso all’acqua pulita”. Per monsignor Ganci “è sempre più necessario prendere coscienza dell’importanza di questo elemento naturale che, per noi che viviamo in una sorta di paradiso terrestre, non sembra rappresentare un problema vista l’abbondanza di cui disponiamo, ma che, nel resto del mondo, a causa della sua assenza o inadeguato utilizzo, è causa di gravi malattie, carestie, migrazioni forzate e guerre, con ricadute geopolitiche su scala globale”.
“La questione dell’acqua nella sua complessità è affrontabile solo dentro un quadro di multilateralismo internazionale, ma quest’ultimo è oggi messo pesantemente in crisi – ha detto Fausta Speranza, l’autrice del libro – dalla conflittualità diffusa. Mentre cerchiamo di capire cosa succederà al gigante russo e al popolo ucraino e al Vicino Oriente, mentre crescono le paure in Europa dobbiamo ragionare seriamente su cosa sia una vera politica per la pace: non consiste solo nel mettere fine ai conflitti e nel contribuire a una stabilizzazione tra una guerra e un’altra, ma presuppone di guardare a tutte le politiche, socio-economiche e ambientali in primis, dalla prospettiva della pace. Significa occuparsi della annosa questione della produzione e della distribuzione delle risorse, a partire dalla più preziosa di tutte: l’acqua”.

https://www.ansa.it/vaticano/notizie/cristiani_mondo/2024/10/23/mons.-ganci-lacqua-sia-strumento-di-pace-non-di-conflitti_7d86a05a-2904-443b-8166-2c800801358b.html

AGENSIR

https://www.agensir.it/quotidiano/2024/10/23/settimana-lingua-italiana-nel-mondo-strasburgo-stasera-si-presenta-il-libro-di-fausta-speranza/

AVVENIRE di Calabria

 

Settimana lingua italiana nel mondo: Strasburgo, stasera si presenta il libro di Fausta Speranza

 

El volumen de Fausta Speranza..: in spagnolo la recensione di “Il senso della sete”

Una recensione in spagnolo di “Il senso della sete” è stata pubblicata sulla rivista Urbaniana University Press, a firma di monsignor Fernando Chica Arellano, Osservatore permanente  presso le agenzie a Roma delle Nazioni Unite, Fao, Ifad, Wfp:

Fausta Speranza, The Sense of Thirst. Water between Geopolitics, Rights, Art, and Spirituality, Infinito Edizioni, Modena 2023, 251 pp.

El volumen de Fausta Speranza, periodista premiada por su trabajo de investigación y atenta observadora de las dinámicas contemporáneas, brinda un detallado examen destinado a fomentar una reflexión sobre la importancia de nuestros recursos hídricos y su gestión.

El derecho al acceso al agua y una crisis crónica

La autora guía al lector a través de un viaje sobre la centralidad del agua para el ser humano en sus diversas manifestaciones sociales, culturales, religiosas y económicas. Sabiendo navegar hábilmente entre temas complejos e intereses opuestos, el libro presenta un análisis minucioso del vínculo intrínseco entre el derecho al acceso al agua y la sostenibilidad ambiental, entre la distribución equitativa de los recursos hídricos y la paz entre los pueblos. La primera parte de esta monografía se centra en el papel histórico del agua y en las manifestaciones modernas de su escasez, abordando el tema desde varios puntos de vista: la crisis hídrica; la contaminación; la conflictividad relacionada con el control de las fuentes de agua, el curso de los ríos o las aguas de los mares; y la cuestión de la propiedad pública o privada de los bienes esenciales.

En el segundo capítulo la atención se desplaza de la raíz del problema a sus posibles soluciones, explorando las oportunidades individuadas por el progreso ­ técnicoRecensiones 289 y científico, las loables iniciativas implementadas en todo el mundo para combatir la pérdida de agua y la visión firmemente humanista sobre el tema bosquejada por el papa Francisco en su Carta Encíclica Laudato si’.

Significado cultural

En la tercera y última parte de esta obra la función del agua se interpreta a la luz de su significado cultural, desde las grandes religiones del mundo hasta diversas formas de arte. La autora destaca el papel del agua en el desarrollo de los acontecimientos humanos. Recorre con esmero la evolución del tema a lo largo de los siglos, partiendo de las sociedades humanas más antiguas, que no por casualidad se denominan «las civilizaciones fluviales». La envergadura del agua también se enfatiza en las constantes referencias a ella presentes en las principales religiones del mundo, comenzando por las tres monoteístas principales. La sutileza de la autora se muestra en saber combinar a la hora de abordar las cuestiones la exhaustividad y el rigor con una visión de amplio alcance.

La óptica empleada por el papa Francisco

Fausta Speranza concuerda en sus afirmaciones con la óptica empleada por el papa Francisco en la Laudato si’, resaltando a menudo que el tema del respeto por la Creación no es un argumento meramente económico o geopolítico, sino un elemento que debe ser interpretado en una dimensión espiritual y de hondo calado: respetar la naturaleza significa ante todo respetarse a sí mismo. El tema del manejo sostenible de los recursos hídricos y su justa distribución no sólo resuena como un grito de denuncia contra la mala gestión de un bien tan sagrado como el agua, sino también como una alarma ante una «sociedad líquida», para usar la famosa definición, tan verdadera en este contexto, del sociólogo polaco Zygmunt Bauman. Una sociedad de este tipo no pocas veces olvida y menoscaba sus raíces éticas, sociales, humanas y religiosas.

Humanidad y naturaleza

Acaba de este modo extraviando la brújula moral, con lo cual corre seriamente el riesgo de perder de vista los avances de la tecnología moderna, siempre que la misma no prescinda de una conciencia recta y formada. La relación entre la humanidad y la naturaleza circundante no puede ser confiada a una concepción tecnocrática de lo existente. Debe en cambio afianzar sus bases en la tradición humanística que ya en el pasado ha ofrecido los grandes logros del saber al conocimiento humano.

En la actualidad, los efectos perniciosos del cambio climático constituyen una amenaza real para la humanidad. Ante esta deletérea perspectiva no existe más alternativa que la de emprender acciones enérgicas y concretas dirigidas a establecer la relación entre el hombre y el ecosistema en clave de mutuo respeto y beneficio. El agua, como recurso primario para ambos, representa el emblema de este equilibrio y el punto de partida ideal para el largo camino que espera a la humanidad en la ruta hacia el desarrollo sostenible.

Valiosos testimonios y ejemplos

La autora ayuda al lector a imaginar este camino —no utópico e inalcanzable, sino concreto—, con valiosos testimonios y ejemplos. La conocida activista india Vandana Shiva recuerda el estrecho vínculo entre el agua, el medio ambiente y la agricultura, y la trascendencia de las mujeres en la lucha por un acceso equitativo y sostenible a los recursos hídricos (pp. 11-14). Las opiniones recogidas en estas páginas de preclaros eruditos como Pasquale Ferrara, Francesco Profumo, Leonardo Becchetti, Stefano Ceccanti y Luigi Ferrajoli permiten al lector una clarividente mirada al derecho al agua y a la necesidad de una gobernanza compartida de este bien a nivel global, en línea con lo deseado por el Santo Padre en la Laudato si’.

Combatir el derroche del agua

Las numerosas iniciativas provenientes de todo el mundo, desde las locales en Italia hasta los proyectos de las grandes universidades chinas y estadounidenses, para combatir el derroche del agua, fomentar la agricultura sostenible y promover la distribución equitativa y pacífica de los recursos hídricos demuestran cuán relevante es la cooperación internacional en temas tan sustanciales como el cuidado de nuestra «casa común». Los desastres climáticos cada vez más frecuentes y el riesgo —que en algunas áreas del mundo ya es una realidad—de que la inseguridad hídrica pueda convertirse en motivo de guerra o motor de migraciones forzadas fortalecen la idea de que sólo un enfoque global del tema puede proporcionar una solución a la urgente cuestión de la distribución mundial de las fuentes de agua potable.

Cuestión ecológica y etica

La conciencia ecológica de esta situación —que interesa en primer lugar a la comunidad internacional—se convierte entonces en conciencia ética y moral, que puede encontrar en el magisterio del papa Francisco un manifiesto espiritual, antes incluso que social, un camino para enmarcar la cuestión ecológica en una perspectiva de fe. Las palabras contenidas en el n. 30 de la Laudato si’ iluminan así el camino a seguir: «El acceso al agua potable y segura es un derecho humano básico, fundamental y universal, porque determina la sobrevivencia de las personas, y por lo tanto es condición para el ejercicio de los demás derechos humanos» (p. 129).

 

El vínculo entre la cuestión ambiental y las condiciones de los sectores más pobres de la población, a través del acceso a los bienes primarios, se convierte así en la clave de bóveda para encarar rectamente las desigualdades alimentarias y la escasez de agua en muchas regiones de nuestro planeta. No podemos dejar que algunas tragedias ya existentes se transformen en una crisis crónica por la explotación codiciosa y voraz de los recursos naturales. Tampoco podemos permitir que la indiferencia general repercuta sobre la justa gestión de un elemento tan imprescindible como el agua, cuya escasez ya está causando estragos, bastante graves en muchas zonas y regiones que hasta ahora los desconocían.

La visión de una comunidad global

Si no se toman las medidas oportunas, la carencia de agua —fuente de vida y de pureza— puede lacerar los esfuerzos realizados, a nivel europeo e internacional, en la lucha contra el deterioro de la Tierra y sus ecosistemas. Al respecto, la autora logra presentar con ingenio la visión de una comunidad global capaz de ofrecer, mediante la innovación y la inversión en programas de estudio, las herramientas necesarias para que la cooperación entre los pueblos sitúe la cuestión hídrica en el cauce de los temas de interés común, al margen de prejuicios y manipulaciones. Sólo un uso socialmente justo y sostenible del agua pondrá a la humanidad en condiciones de lograr un desarrollo en armonía con la naturaleza que la rodea. Como dijo el papa Juan XXIII durante su viaje a Asís, el 4 de octubre de 1962:

«Paraíso sobre la tierra es el uso moderado y prudente de las cosas bellas y buenas que la Providencia ha esparcido por el mundo, sin ser exclusivas de nadie y útiles a todos» (p. 126).

En conclusion

En conclusión, la lectura de este libro nos enriquece porque esboza un modus operandi destinado a renovar el fecundo diálogo e intercambio entre ciencia y fe, y a profundizar el vínculo entre la cuestión social y la cuestión ambiental. Favoreciendo un enfoque abierto, serio y colmado de lu- minosas ideas, el tratamiento ecléctico utilizado por Fausta Speranza en este ensayo logra que sus palabras se conviertan en una valiosa aportación, fruto de sus muchas horas de investigación sobre el complejo ámbito de los recursos hídricos. Con sus consideraciones y acertadas propuestas, por tanto, la autora logra óptimamente que el lector de las mismas —según reza el título del volumen— dé un sentido a la sed que lo atenaza, no sólo físicamente, sino antes que nada intelectual y espiritualmente.

Fernando Chica Arellano

 

 

La recensione di Mons. Arellano a “Il senso della sete”

Di seguito l’articolo cheMonsignor Fernando Chica Arellano, Osservatore permanente della Santa Sede presso il polo romano delle Nazioni Unite (FAO, FIDA e Programma alimentare mondiale) ha avuto la bontà di dedicare a Il senso della sete sulla rivista Urbaniana University Press, a gennaio 2024

Il senso della sete. L’acqua tra geopolitica, diritti, arte e spiritualità
Infinito edizioni, Formigine, MO 2021, 256 pp.

Il libro “Il senso della sete. L’acqua tra geopolitica, diritti, arte e spi- ritualità” di Fausta Speranza, brillante giornalista dei media vaticani, è dedicato interamente alla più essenziale delle risorse naturali, l’acqua, che rappresenta un motore di sviluppo economico primordiale da preservare, difendere e promuovere, nelle città e nelle aree più rurali, da parte degli Stati e dalle persone. Edita da Infinito edizioni, la pubblicazione è cor- redata da una lettera di Papa Francesco che ringrazia l’autrice per il suo lavoro e sottolinea come «coltivare e custodire il Creato» sia «un’indica- zione di Dio data non solo all’inizio della storia, ma a ciascuno di noi, per far crescere il mondo con responsabilità, trasformarlo perché sia un luogo abitabile per tutti » (p. 9). Inoltre, diversi punti di vista − contenuti nelle prefazioni, introduzioni e postfazione − impreziosiscono il volume che si configura come importante punto di riferimento su una tematica così arti- colata e sfaccettata. Se, nella prima parte, l’autrice denuncia i tanti disastri ambientali legati all’“oro blu”, nella seconda analizza come la tecnologia possa aiutare la conversione ecologica a favore del nostro Pianeta e, infine, nella terza ed ultima parte Fausta Speranza tratta in maniera scrupolosa il rapporto dell’acqua con le religioni, la letteratura, le arti visive, la musica, l’architettura e il cinema, trovando un bacino di saggezza, sacralità che può nutrire lo slancio di cui abbiamo bisogno per invertire la rotta degli attuali disastri ambientali.

Oltre ad essere l’origine della vita, delle civiltà e dello sviluppo economico, l’acqua ha anche un profondo valore simbolico, presente tra l’altro in moltissime religioni. Purtroppo, lo sfruttamento smisurato delle risorse naturali, in un mondo che conosce soltanto la logica del profitto, sta crean- do le condizioni per avvicinarsi ad un punto di non ritorno in cui siccità e inondazioni rischiano di incrementare le migrazioni di massa. Nel 2022, circa 2.2 miliardi di persone non hanno avuto accesso a fonti d’acqua si- cure e l’International Food Policy Research Institute (IFPRI) prevede che, considerati gli attuali tassi di crescita demografica e di consumo idrico, entro il 2025 il fabbisogno di acqua aumenterà di oltre il 50%. Ad essere colpiti maggiormente saranno gli agricoltori, soprattutto nei Paesi a basso reddito, dove i raccolti dipendono da sistemi di irrigazione ad alto consumo d’acqua. Vi sono, inoltre, 17 Paesi che ospitano circa un quarto della popo- lazione mondiale che stanno affrontando una gravissima crisi idrica, con un rischio molto elevato di terminare le proprie risorse di acqua. Se guardia- mo all’Unione Europea, il 12% della popolazione lamenta problematiche legate all’acqua che riguardano non tanto la scarsità quanto l’inquinamen- to. Nello scacchiere internazionale l’acqua riveste dunque un’importanza strategica: si pensi, ad esempio, alla crisi del lago Ciad che rappresenta il bacino idrico più importante dell’Africa centro-settentrionale in quanto fornisce acqua ai quattro Stati circostanti (Ciad, Camerun, Nigeria e Niger) e che negli ultimi anni si sta prosciugando a ritmi preoccupanti, causando massicci flussi migratori.

Ispirandosi all’Enciclica Laudato Sì di Papa Francesco e all’idea che tutto è intimamente connesso, dal libro emerge la forte correlazione tra cura del creato e cura delle comunità che lo abitano. L’uomo, la natura, lo sviluppo sono legati indissolubilmente all’acqua, ma sono ancora troppe le persone che non vi hanno accesso anche se, come ha ricordato il Santo Padre nella suddetta Enciclica, « l’accesso all’acqua potabile e sicura è un diritto umano essenziale, fondamentale e universale, perché determina la sopravvivenza delle persone, e per questo è condizione per l’esercizio degli altri diritti umani. Questo mondo ha un grave debito sociale verso i poveri che non hanno accesso all’acqua potabile, perché ciò significa negare ad essi il diritto alla vita radicato nella loro inalienabile dignità » (LS, 30). La tesi più interessante intorno alla quale ruota l’intero libro è considerare l’acqua come il primo dei diritti umani, diritto che costituisce l’architra- ve di tutti gli altri diritti. Eppure, nel 2020, in piena pandemia, l’acqua è stata quotata in borsa al pari dell’oro, del petrolio o di qualsiasi altra merce, soggetta alle speculazioni del mercato che fanno lievitare i prezzi sulla base dello loro reale o presunta scarsità. Speculare su un bene come l’acqua è davvero immorale ed è il risultato di una mentalità utilitaristica che monetizza tutto, anche ciò che deve rimanere un bene comune, vale a dire un bene la cui utilizzazione economica non può andare ad intaccare il nucleo essenziale dei diritti umani.

Non c’è dubbio che il degrado ambientale globale ci chiami a rivedere le nostre politiche e a rivedere l’economia e lo sviluppo sociale in termini di sostenibilità. In un’era dominata dalla tecnologia dove si raggiungono formidabili conquiste, è paradossale che rimangano irrisolte questioni fon- damentali in cui sono in gioco l’esistenza e la dignità dell’essere umano. È dunque estremamente urgente ripensare l’intero sistema di relazioni tra persone, tecnologia e ambiente e parlare di ecologia «avendo a cuore il bene degli esseri umani e della casa comune, nell’interezza della concezio- ne di bene e nella completezza di senso delle possibili relazioni » (p.75).

La riflessione illuminante di Fausta Speranza sull’acqua mette in luce, attraverso una vasta raccolta di informazioni e di lunghe ricerche, i temi e le problematiche che attraversano le varie questioni legate a tale bene. Il volume, inoltre, offre al lettore interessanti spunti di riflessione sul «pri- mo, basilare ed emblematico elemento naturale da cui partire per riflettere sulle urgenze del pianeta » che « rappresenta un fattore chiave per la sussi- stenza, utile per ragionare di un nuovo patto sociale globale » (p. 27).

Fernando Chica Arellano

 

a Bruxelles Le sens de la soif: all’Europarlamento il 9 aprile con On. De Meo

All’Europarlamento a  Bruxelles

su Agenzia Internazionale Stampa Estera:

https://www.aise.it/lingua-e-cultura-allestero/il-senso-della-sete-una-sfida-per-il-futuro-deuropa-e-del-mondo/202750/157

Le tre edizioni aggiornate di

Il senso della sete

presentate al PE  dall’Europarlamentare  Salvatore De Meo (Ppe)

“Le sens de la soif”

“The sense of thirst”

Mentre la Corte Europea dei diritti dell’uomo condannava nel pomeriggio del 9 aprile 2024 la Svizzera in una sentenza in cui per la prima volta lega la tutela dei diritti umani al rispetto degli obblighi sul clima, al Parlamento Europeo a Bruxelles si discuteva di come l’Europa  combatte con la doppia sfida della carenza idrica e delle inondazioni urbane: Pechino sta costruendo “citta’ spugne”; i Paesi europei che fanno? L’Italia spendera’ i 900 milioni del Pnrr stanziati da Bruxelles per i sistemi idrici colabrodo? In questi anni ha ricevuto centinaia di multe per infrazioni nel sistema idrico.
Se ne è parlato alla presentazione delle versioni (aggiornate e appena pubblicate) in lingua francese e inglese del libro  “Il senso della sete” di Fausta Speranza (prima edizione in italiano nel 2021).
A presentare il libro nelle sue versioni in lingua è stato l’Onorevole Salvatore De Meo (Ppe) che ha sottolineato l’importanza di un approccio culturale teso a promuovere una “transizione giusta”: “il Partito Popolare Europeo porta avanti la sua battaglia per far capire che la sostenibilità ambientale deve essere accompagnata anche da una sostenibilità economica, sociale e produttiva”. Nel Sahel nell’ultimo anno il prezzo dell’acqua in bottiglia è aumentato di 400 volte, mentre “ormai tutto il mondo ha sete”, documenta Speranza. Ma non è solo storia di conflitti: Speranza racconta di iniziative di condivisione, perfino nel contesto del Vicino Oriente: esattamente tra israeliani, palestinesi e giordani. E non è solo storia di mercificazione: Speranza racconta di Paesi in America latina in cui fiumi e laghi hanno personalità giuridica.
In definitiva, non c’è pace per un mondo che ha sete. Il messaggio, trasversalmente internazionale, è argomentato dal libro che uno sguardo a 360 gradi su risorse idriche e relative dinamiche, appena pubblicato in francese oltre che in inglese (dopo la prima edizione in italiano nel 2021).
Il libro:
Titolo: Il senso della sete. L’acqua tra geopolitica, diritti, arte e spiritualità
Autrice: Fausta Speranza
Con una lettera all’autrice di Papa Francesco
Prefazioni di Vandana Shiva e Pasquale Ferrara
Introduzioni di Francesco Profumo e Leonardo Becchetti
Postfazione di Stefano Ceccanti
(€ 17,00 – pag. 256)
Il libro ha ispirato una Mis En Scène curata dall’attore Paolo Minnielli con la partecipazione di tre leader religiosi: il rabbino Ariel Di Porto, il segretario generale della Grande Moschea di Roma Abdellah Redouane, la teologa Linda Pocher dell’Auxilium. (https://www.meridianoitalia.tv/index.php/ambiente/570-se-l-acqua-e-sacra).
Fausta Speranza partecipa al progetto AQUAE, lanciato il 22 marzo scorso nella Giornata mondiale dell’acqua 2024 che coinvolge 1.000 studenti delle scuole di secondo grado di Roma, promosso dall’Università di Roma Foro Italico, con l’Autorità di bacino distrettuale dell’Appennino Centrale e con il patrocinio del Ministero dell’Ambiente e della Sicurezza Energetica; Ministero dell’Agricoltura della Sovranità Alimentare e delle Foreste; Ministero per lo Sport e i Giovani; Ministero degli Affari Esteri e della Cooperazione internazionale; Istituto Superiore di Sanità; Regione Lazio e Comune di Roma.

 

Agenzia Stampa Estera Aise

https://www.aise.it/lingua-e-cultura-allestero/il-senso-della-sete-il-libro-di-fausta-speranza-domani-a-bruxelles/202654/2

Agenzia Sir

Libri: “Il senso della sete. Acqua tra geopolitica, diritti, arte e spiritualità”, incontro al Parlamento europeo a Bruxelles il 9 aprile

Aquae 2024: con autorità e artisti, Fausta Speranza al Teatro Olimpico nel World Water Day

World Water Day 2024

Autorità di Bacino distrettuale dell’Appenino Centrale e Università del Foro Italico al Teatro Olimpico con 1000 studenti

sul tema: acqua, prosperità e pace

Roma, 22 marzo 2024 – In occasione del World Water Day 2024 è tornata – in terza edizione – l’iniziativa AQUAE!: al Teatro Olimpico si è parlato questa mattina dei legami tra acqua, prosperità e pace, alla presenza di oltre 1000 studenti delle scuole secondarie di secondo grado di Roma.

A offrire spunti di riflessione tra attualità e cultura è stata Fausta Speranza giornalista e scrittrice, autrice del libro “Il senso della Sete” che, commentando il rapporto ONU Water for Peace, ha parlato del ruolo dei media e di una corretta informazione, di quello delle società civili e delle culture locali, facendo riferimento a situazioni in tutto il mondo.

L’evento di divulgazione scientifica dedicato alle risorse idriche e ai cambiamenti climatici e pensato per i giovani è promosso dall’Università di Roma Foro Italico, quest’anno in collaborazione con l’Autorità di bacino distrettuale dell’Appennino Centrale e con il patrocinio di: Ministero dell’Ambiente e della Sicurezza Energetica; Ministero dell’Agricoltura della Sovranità Alimentare e delle Foreste; Ministero per lo Sport e i Giovani; Ministero degli Affari Esteri e della Cooperazione internazionale; Istituto Superiore di Sanità;  SItI – Società Italiana di Igiene, Medicina Preventiva e Sanità Pubblica; d Regione Lazio; Comune di Roma, Comitato Nazionale Italiano Fair Play;  Federazione Ginnastica d’Italia.

A dare il via Marco Casini, Segretario Generale dell’Autorità di bacino distrettuale dell’Appennino Centrale, che innanzitutto ha annunciato che “l’Autorità investirà nei prossimi anni importanti risorse nella divulgazione scientifica e nell’organizzazione di iniziative come Aquae”. Casini ha sottolineato che l’Autorità ha “il dovere di coinvolgere le nuove generazioni, di informarle e formarle su temi di estrema rilevanza come quelli della gestione e della tutela delle risorse idriche con l’obiettivo di sensibilizzarle su comportamenti virtuosi che possano indirizzare lo sviluppo del territorio verso una sempre maggiore sostenibilità”.

Ad aprire il dibattito Sabrina Alfonsi, Assessora all’Ambiente e alle Politiche Agricole del Comune di Roma;  Attilio Parisi, Rettore dell’Università di Roma Foro Italico, unico ateneo italiano specializzato in sport, scienza e salute; Vincenzo Romano Spica, coordinatore scientifico di AQUAE e direttore del Laboratorio di Epidemiologia e Biotecnologie dell’Università di Roma Foro Italico;  Beatrice Covassi, europarlamentare della commissione per l’Ambiente e Sanità Pubblica ha sottolineato il legame profondo tra diritti ambientali e salute.

Claudio Barbaro, Sottosegretario al Ministero dell’Ambiente e sicurezza Energetica, ha inviato ai ragazzi un messaggio, in cui ha lanciato un appello alla “cultura della salvaguardia” ribadendo “l’impegno del Ministero attraverso un programma di educazione ambientale con l’obiettivo di diffondere una vera cultura della tutela ambientale e del rispetto delle risorse naturali”.

L’urgente tema della sicurezza dell’acqua alla luce della nuova normativa europea è emerso negli incontri con Enrico Veschetti ricercatore dell’ISS, Cristian Carboni membro del Water Europe, e Alberto Spotti di Aquaitalia.

Diretto il video di Richard Connor Editor in Chief UNESCO World Water Assessment Programme (WWAP).

Presentato inoltre agli studenti lo spettacolo itinerante del divulgatore scientifico Fabio Cappa, “Non c’è più tempo”, che si propone di diffondere tra i giovani una consapevolezza critica su come le scelte finanziarie possano influenzare positivamente il pianeta, promuovendo al contempo pratiche di investimento responsabile che tengano conto degli standard ESG.

A moderare Savino Zaba. Tanti gli artisti, gli ospiti e personaggi dello spettacolo che hanno partecipato o rilanciato l’iniziativa. Tra questi, Eleonora Vallone Presidente dell’AQUA Film Festival gemellato da quest’anno con AQUAE nel coinvolgimento delle scuole; Antonio Mezzancella showman, imitatore e cantante; Salvatore Masucci chitarrista; la cantante Santa Fè;  il “violinista Jedi Andrea Casta – tra le star musicali più seguite sui social – che affianca l’iniziativaA istituzionale sin dal primo anno, aprendo ogni edizione di AQUAE con la sua musica in grado di far viaggiare gli spettatori con effetti immersivi tra natura e futuro, spaziando tra pop, elettronica e dance music.

“Celebrare la Giornata mondiale dell’acqua sensibilizzando con questo appuntamento centinaia di studenti è un modo davvero efficace per trasmettere la cultura della salvaguardia di questo bene vitale per l’essere umano. Educare i giovani, e non solo, su questo argomento, è di prioritaria importanza ed è per questo che al Ministero dell’Ambiente e della Sicurezza energetica è in atto un programma di educazione ambientale, attraverso il quale siamo convinti di centrare l’obiettivo di diffondere una vera cultura della tutela ambientale e del rispetto delle risorse naturali”, così il Sen. Claudio Barbaro, Sottosegretario di Stato al MASE”

“Nella ricorrenza del World Water Day occorre ribadire che l’accesso equo e sostenibile all’acqua per tutti è un tema di primaria urgenza che richiede l’attivazione di sinergie a livello locale, nazionale ed internazionale ponendolo al centro dell’agenda mondiale. Si tratta di affermare un diritto umano essenziale e universale che anche Roma Capitale ha introdotto come principio cardine nel suo Statuto. Ma il problema dell’accesso all’acqua e della tutela di questa risorsa fondamentale è anche una questione educativa e culturale per stimolare la consapevolezza dell’importanza dei nostri comportamenti proprio a partire dalle giovani generazioni. L’evento Aquae, per il quale voglio ringraziare gli organizzatori Prof. Attilio Parisi Rettore Università di Roma Foro Italico, il Prof. Marco Casini Segretario Generale dell’Autorità di Bacino Distrettuale dell’Appennino Centrale, il Prof. Vincenzo Romano Spica Direttore Scientifico di AQUAE e gli studenti presenti, è un’occasione preziosa per diffondere i principi della responsabilità etica, morale e politica sulla tutela dell’acqua come bene comune universale” dichiara Sabrina Alfonsi, Assessora all’Agricoltura, Ambiente Ciclo dei rifiuti di Roma Capitale

“Abbiamo il dovere di coinvolgere le nuove generazioni, di informarle e formarle su temi di estrema rilevanza come quelli della gestione e della tutela delle risorse idriche. L’Autorità di bacino dell’Appennino centrale investirà’ nei prossimi anni importanti risorse nella divulgazione scientifica e nella organizzazione di iniziative come Aquae, al fine di sensibilizzare le nuove generazioni verso comportamenti virtuosi che possano indirizzare lo sviluppo del territorio verso sempre una maggiore sostenibilità” commenta Marco Casini, Segretario Generale dell’Autorità di Bacino distrettuale dell’Appennino Centrale.

“In questa iniziativa che portiamo avanti da 20 anni, presentiamo scoperte, norme, su acque a partire da quelle per lo sport e piscine, per arrivare a una prospettiva a 360 gradi. Promossa dal laboratorio di Epidemiologia e Biotecnologie, che studia acqua in diverse linee di ricerca, è una azione di III MISSIONE aperta a scuole, giovani, popolazione, in cui diffondere conoscenze e i risultati nostre ricerche” dichiara Attilio Parisi, Rettore Università di Roma Foro Italico.

“Abbiamo previsto un flash hub, dedicato alle scuole per conoscere il DNA delle acque, la biodiversità e con loro fare ricerca per un domani sostenibile! Faremo una mappa italiana del microbiota delle acque, un esercizio per educare al valore dell’acqua e coinvolgere giovani a fare scienza anche con le ultime tecnologie della genetica molecolare. A ottobre condivideremo i risultati, oggi è solo l’inizio di un nuovo scambio tra giovani e università, uniti dall’acqua” conclude Vincenzo Romano Spica, Direttore Scientifico di AQUAE Università Foro Italico

https://www.federginnastica.it/news/28088-roma-teatro-olimpico-aquae-nel-world-water-day-con-fgi-e-san-giorgio-79-desio.html

 

 

Su Radio Marconi

15 Settembre 2023

su Radio Marconi https://www.radiomarconi.info/palinsesto-2

rubrica Radio Aperta, Approfondimenti sulle notizie del giorno (10.30-12:00)

si parla del “Tempo del creato” e della questione acqua

il collega Bruno Cadelli intervista Fausta Speranza

autrice del volume Il senso della sete (Infinito Edizioni, ristampa aggiornata luglio 2023)

Si parla delle più recenti questioni legate alle risorse idriche:

 

 

 

“The sense of thirst” presentato dall’Ambasciatore Donnelly

L’Ambasciatore Usa Donnelly       alla presentazione di                     “The sense of thirst”                           di Fausta Speranza

https://gazzettadiplomatica.it/lambasciatore-usa-donnelly-alla-presentazione-di-the-sense-of-thirst-di-fausta-speranza/

 

 

https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=pfbid0ZfYFJESg1Qho6NFYfnzAe5VzH9sKtP2j8QthfXz4JhEVtsTswWDby2W3GCU1k2nul&id=100064505927505

“The sense of thirst”

è stato presentato da S.E. Joseph Simon Donnelly

Ambasciatore degli Stati Uniti d’America presso la Santa Sede

https://gazzettadiplomatica.it/lambasciatore-usa-donnelly-alla-presentazione-di-the-sense-of-thirst-di-fausta-speranza/

giovedì 6 luglio a Roma ore 16:00 a Palazzo Maffei Marescotti, a Roma

insieme con la proiezione del video Mis-En-Scene

 Se l’acqua è sacra

https://www.meridianoitalia.tv/index.php/ambiente/570-se-l-acqua-e-sacra

di Paolo Minnielli

(nella foto Paolo Minnielli con la concertista Antonella Tondi che lo ha accompagnato alla chitarra)

regista Stefano Gabriele

 (con la partecipazione del Rabbino Ariel Di Porto; del Segretario Generale della Grande Moschea di Roma Abdullah Redouane; della teologa L. Pocher)

con il Maestro Lucio Trojano

autore del disegno della copertina

Mentre cerchiamo di capire cosa succederà al gigante russo e al popolo ucraino e mentre crescono le paure in Europa, dobbiamo ragionare seriamente su cosa sia una vera politica per la pace: non consiste solo nel mettere fine ai conflitti e nel contribuire a una stabilizzazione tra una guerra e un’altra, ma presuppone di guardare a tutte le politiche – socio-economiche e ambientali in primis – dalla prospettiva della pace, perché si possa evitare la nascita stessa di tensioni sociali e di nuovi conflitti. Significa occuparsi della annosa questione della produzione e della distribuzione delle risorse, a partire dalla più preziosa di tutte, l’acqua.

È quello che fa Il senso della sete, uscito a giugno 2023 in ristampa aggiornata in lingua italiana e in lingua inglese – in cartaceo e in ebook – con il titolo The sense of thirst. Water between geopolitcs, rights, art and spirituality, a conferma dell’interesse crescente per un testo che si occupa di questione ambientale con un approccio sinergico tra geopolitica, diritti, arte e spiritualità.

Il libro:
The sense of thirst  INFINITO EDIZIONI(€ 21,00 – pag. 256)
With a letter to the author of Pope Francis

Synopsis: the deep link between water and the right to health is one of the themes dealt with in denouncing the urgent social and geopolitical issues inherent in the most essential of human resources. In an era marked by the pandemic, by environmental disasters linked to climate change, by the phenomenon of Earth Overshoot Day, water is “analysed” as an emblem of the planet’s natural balance that human beings cannot destroy without annihilating themselves. The denunciation of issues that cannot be postponed, such as the ever less obvious right of access to drinking water, or drought, the cause of conflicts and migratory flows, is accompanied by an analysis of the spiritual, cultural and artistic dimension with which man has looked to the natural element, the source of life par excellence. The cry of the scientists, in fact, is waiting to be re-launched by a powerful leap of ethical awareness. Lest we forget that, as the philosopher-anthropologist Loren Eiseley said, “If there is any magic on this planet, it is contained in the water”.

L’Autrice
Fausta Speranza giornalista inviata. Al Radiogiornale internazionale di Radio Vaticana dal 1992; a L’Osservatore Romano dal 2016: prima donna a occuparsi di politica internazionale e poi nella redazione cultura. Ha lavorato con Sergio Zavoli (RaiTv Diario di un cronista e Viaggio nella scuola, 2000-2001). Ha firmato per Rai Storia nella rubrica Documentari d’autore il reportage dal Messico Tra record di violenza e di bellezza (8 Giugno 2019). Collabora o ha collaborato con Famiglia cristiana, Limes, RadioRai, il Corriere della Sera (intervista esclusiva alla super testimone del caso Spallone, aborti clandestini). Ha realizzato reportage anche da Europa, Canada, Stati Uniti, Medio ed Estremo Oriente, Africa. In Ghana ha documentato, entrando con la macchina da ripresa, il disastro di una delle più grandi discariche illegali di rifiuti elettronici al mondo. È autrice, per Infinito edizioni di Messico in bilico (2018), Fortezza Libano (2020) e Il senso della sete (2022; ristampa aggiornata a giugno 2023 in italiano, in inglese e in francese).

Ha vinto premi in sezioni Radio, Tv e Libri, tra gli altri: Premio Letterario Ambasciatori presso la S. Sede 2022; Premio Bizzarri al Giornalismo internazionale 2019; Premio Giustolisi al Giornalismo di Inchiesta 2018; Premio Giornalismo Europeo 2011.

Per informazioni:
Infinito edizioni: 059/573079 – 331/2182322

comunicazione@infinitoedizioni.it